Bien le bonjour les p’tites plumes,
Aujourd’hui, je vais vous parler de mes logiciels d’écriture. Dans un prochain article, je parlerai de mon rythme d’écriture.
Word :
Tout le monde le connaît. C’est un traitement de texte très complet et efficace. Payant, il faut la licence Microsoft avec le Pack Familial pour avoir le minimum (Word, Excel et je ne sais plus quoi), pour pas cher. Sinon, n’hésitez pas à utiliser des logiciels de traitement de texte en licence libre comme LibreOffice ou OpenOffice. Je ne les connais pas, mais je sais qu’ils font largement leur travail.
Scribbook :
Logiciel de traitement de texte en ligne gratuit, avec la possibilité de la version Premium qui est payante. Avant de crier, sachez que la version gratuite donne accès à la grande majorité des services. La version Premium permet l’utilisation d’une vitrine afin de faire de la promotion de nos romans, d’une sauvegarde interne plus importante (vous pouvez donc créer plus de projets qu’avec la version gratuite), et les fiches personnages sont plus développées. Cette version est bien pour ceux qui ont beaucoup de projets, ou qui veulent soutenir tout simplement.
Depuis que je l’ai découvert, je ne peux plus m’en passer. De plus, il y a un système de sauvegarde automatique et sécurisée des projets.
Les avantages conséquents : les fiches personnages que l’on peut lier dans les chapitres (on peut également les télécharger), les objectifs d’écriture, le fait de pouvoir y accéder sur n’importe quel support (PC et téléphone), le système d’analyse de notre écriture, plan de chapitres, l’organisation des projets. On peut également faire des recherches directement via le projet, grâce à « recherche dans les dictionnaires ». Pour les utilisateurs d’Antidote, le logiciel est désormais compatible avec Edge, vous pouvez donc l’utiliser sur Scribbook après avoir fait son installation sur votre navigateur.
Beaucoup d’améliorations sont en développement.
J’écris mes romans sur Scribbook. Par la suite, je les télécharge en format Word afin de les retravailler et de faire les mises en page, l’impression et tout le reste. Si cela vous intéresse, je ferai un article complet sur Scribbook.
Scribbook
OneDrive : Ma sauvegarde
Il s’agit d’un service de stockage. Pour cela, il vous faut un compte Microsoft. À partir de là, vous synchronisez vos données de n’importe quel PC. Par exemple, mon portable est connecté à OneDrive. Cela signifie que toutes les modifications d’un fichier ou d’un logiciel sont synchronisées. Je peux donc y avoir accès sur n’importe quel autre support, sur mon PC fixe et même sur mon téléphone portable.
Bien entendu, vous avez la possibilité de laisser des informations uniquement sur votre PC sans aucune synchronisation, mais l’inconvénient est que vous n’avez aucune sauvegarde ailleurs. L’avantage est de pouvoir accéder à nos fichiers n’importe où, d’avoir une sauvegarde sécurisée (si l’un de vos PC plante, vous avez toujours accès à vos données OneDrive).
Là, au moment où je rédige cet article, la sauvegarde du fichier se fait automatiquement à fréquence régulière (cela se joue à quelques secondes) et la synchronisation suit. Je peux donc aller sur mon autre ordinateur, ouvrir le fichier et zou, je continue. J’ai donc abandonné la dizaine de clés USB qui trainaient un peu partout et que je finissais par perdre, lol.
Cela me change la vie. Les plus jeunes ne comprendront pas, mais vous vous souvenez de l’époque où on oubliait de sauvegarder, qu’on n’avait aucun avertissement et qu’on fermait le fichier ? Plus rien et on pleurait en se disant qu’il fallait tout recommencer XD
Bref, peu importe votre logiciel de traitement de texte, tant que vous êtes bien dessus, c’est le principal. Par contre, n’oubliez pas de réaliser des sauvegardes. Par des espaces de stockage, par envoi de mails, par clé USB/disque dur externe ou autre. C’est très risqué de n’avoir qu’une seule sauvegarde, qu’un seul fichier, à un seul endroit.
Si vous avez des questions, n’hésitez pas à me contacter par mail ou par le formulaire. Je me ferai un plaisir de vous répondre.
Bisous les p’tites plumes,
Stéphanie.